logo
Wrong email address or username
Wrong email address or username
Incorrect verification code
Le théâtre de Georges Feydeau (1): Je ne trompe pas mon mari - La Dame de chez Maxim - L'Affaire Edouard - L'Hôtel du Libre Echange (French Edition) - Georges Feydeau
Add cover
Le théâtre de Georges Feydeau (1): Je ne trompe pas mon mari - La Dame de chez Maxim - L'Affaire Edouard - L'Hôtel du Libre Echange (French Edition)
by: (author)
Cet ouvrage est un recueil de 4 pièces de théâtre écrites par Georges Feydeau (1862-1921).Résumés :1- Je ne trompe pas mon mari (Pièce en trois actes) :Saint-Franquet, célibataire et peintre raté, a pour maîtresse, Bichon, avec laquelle il est sur le point de rompre. De l’autre côté, un couple... show more
Cet ouvrage est un recueil de 4 pièces de théâtre écrites par Georges Feydeau (1862-1921).Résumés :1- Je ne trompe pas mon mari (Pièce en trois actes) :Saint-Franquet, célibataire et peintre raté, a pour maîtresse, Bichon, avec laquelle il est sur le point de rompre. De l’autre côté, un couple marié, les Plantarède. Monsieur est amoureux de Bichon, tandis que Saint-Franquet brigue Madame. Pour que la fête soit complète, Dotty, jeune anglaise tyrannique et millionnaire, propose un mariage à Saint-Franquet, tandis que ce dernier, aimé secrètement par son ami Des Saugettes, en pince pour Mme Plantarède.2- La Dame de chez Maxim (Vaudeville en trois actes) :Le Docteur Petypon, respectable et respecté, a fait la noce avec son ami Mongicourt. Le lendemain à midi, il n'est toujours pas réveillé et dort sous le canapé, tandis que dans son propre lit se prélasse, en petite tenue, une jolie fille, connue au Moulin Rouge, sous le nom de la Môme Crevette. La femme de Petypon, Gabrielle, pétrie de religion et qui croit aux apparitions, va et vient dans l'appartement. Un malheur n'arrivant jamais seul, voilà que débarque d'Algérie un oncle à héritage.3- L'Affaire Édouard (Comédie-vaudeville en trois actes) :Le croisement des infidélités conjugales de deux amis : Edouard et Charançon. Gabrielle a giflé un commissaire de police venu troublé par hasard le couple illégitime lors d'un dîner intime. Or, Charançon est avocat. Ignorant que c’est sa femme qui est l'accusée, il se fait fort de défendre Edouard et sa maîtresse devant le tribunal correctionnel.4- L'Hôtel du Libre Echange (Vaudeville en trois actes) :Pinglet, entrepreneur en bâtiment marié à une femme peu séduisante, est épris de l'épouse de son ami et associé, l'architecte Paillardin. Celui-ci devant s'absenter, Madame Paillardin, lassée de l'attitude cavalière de son mari, accepte le rendez-vous secret que lui fixe Pinglet. Les deux terminent leur soirée dans un hôtel de dernier ordre, l'hôtel du libre échange. Ce qu'ils ignorent, c'est que Paillardin s'y trouve également. De plus, personne ne se doute que l'hôtel est aussi le lieu de rendez-vous de la bonne de Pinglet et du neveu de Paillardin. Enfin, personne ne sait que Mathieu, un ami de province descendu à Paris avec ses quatre filles, loge lui aussi à l'hôtel du libre échange. La table est donc mise pour que se multiplient mensonges et quiproquos.Extrait de "l'Hôtel du Libre Echange" :"PINGLET, un énorme cigare à la bouche, il porte le sac de MARCELLE. — Dans un instant ! Il est à nous dans un instant !... Ah ! je crois que nous sommes tombés dans un hôtel bien tranquille !...MARCELLE, regardant alentour. — Mais il est horrible, votre hôtel !... Où avez-vous été le dénicher ?PINGLET. — Evidemment, il n'a pas d'oeil ! mais c'est juste ce qu'il nous faut. Dans un hôtel chic, nous risquions d'être reconnus ! tandis qu'ici, ce serait bien la guigne si nous rencontrions quelqu'un de connaissance !...MARCELLE. — C'est juste !...PAILLARDIN, éternuant. — Atchoum !PINGLET, en manière de plaisanterie. — Dieu vous bénisse !PAILLARDIN, se découvrant. — Merci !PINGLET. — Pas de quoi ! (A MARCELLE, très tendre.) Et puis, qu'importe l'hôtel... il me paraît beau, puisqu'il me réunit à vous !.., (Changeant de ton.) Pristi ! que ça sent le plomb, ici !... Ah ! voilà le garçon !PAILLARDIN entre dans le cabinet du fond. Nuit.BASTIEN. — Me voici aux ordres de monsieur !... (Très aimable.) Je vois ce qu'il faut à monsieur : un petit nid charmant où la jolie madame sera très bien !... Elle est bien mignonne, monsieur, bien mignonne !PINGLET. — Garçon ! en voilà des familiarités ! D'abord, madame est ma femme !"Une table des matières dynamique permet d'accéder directement aux différentes parties de l'ouvrage pour faciliter la lecture.Il dispose également de liens pour accéder directement à la pièce choisie.
show less
Format: Kindle Edition
ASIN: B00TNS6X5G
Pages no: 570
Edition language: English
Bookstores:
Books by Georges Feydeau
Share this Book
Need help?