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text 2020-02-03 10:46
How to have a sustainable Christmas: six tips to make your holiday more eco-friendly

 

Christmas can be a magical and fun time spent with those we love. However, Christmas is often also a time of excessive consumption, over-indulgence and unnecessary waste for those in more economically privileged positions. Here are six tips to enjoy the holiday in a more sustainable way.

 

  1. Buy less

Giving gifts can be a beautiful expression of our love and gratitude for the people in our lives. However, in many instances we fill our Christmas stockings with far more than is necessary. Excessive consumption traces back to the destruction of our living systems, the exploitation of natural resources and people for profit.

 

Buying less gifts is a great way to have a more mindful festive period. This could include implementing a limit with your family on the number of gifts you exchange. It could also include making use of the secret santa tradition. If you have children, it is a good opportunity to teach them about the importance of the holiday rather than the practice of gift giving, while teaching them to appreciate and enjoy the gifts they receive.

 

  1. Buy ethical and local - or gift an experience.

When buying gifts, look for local options that are ethically made. Local companies generally have smaller carbon footprints, whilst ethical companies sell products that are better for the environment and offer far better working environments. There is also the option to gift your loved ones an experience that you know they will love, be it a dancing lesson, beer tasting or outdoor adventure, to name a few.

 

 

  1. Rethink the Christmas Tree

 

According to an article on Metro, the “collective carbon footprint of throwing organic Christmas trees in the garbage amounts to approximately 100,000 tonnes of greenhouse gases each year.” Conversely, plastic trees are made from fossil fuels and are not recyclable or biodegradable.

 

If you do have a reusable plastic tree, the most sustainable thing to do would be to keep it and reuse it as many times as possible.

 

When it comes to replacement, Emi Murphy a tree campaigner quoted in the Guardian says that: “buying a potted tree with roots lets you grow it outside and use it again year after year, reducing its environmental impact and costing you less. A living tree will carry on absorbing carbon from the atmosphere for years to come.”

 

There are also lots of ways to get creative and create your own version of a Christmas tree using old branches and string, stacked books or even a ladder.

 

 

  1. Eliminate unnecessary waste

 

From crackers, to Christmas hats to wrapping paper, there can be a great deal of avoidable waste around Christmas time. Many items can easily be avoided completely whilst others can be replaced with more sustainable alternatives, for example:

 

  • Instead of non-recyclable wrapping paper, use old newspaper or recyclable brown paper to wrap your gifts
  • If you are considering buying any new christmas decorations for your tree, try making your own. This could be done with salt dough, old paper or CDs
  • Forage for your Christmas decorations: think pinecones, greenery, chestnuts and holy

 

  1. Reduce your food waste and compost the rest

 

When planning and shopping for your festive season meals, consider how to minimise food waste by coordinating your meals to include shared ingredients. That way you will use all or most of the ingredients that you have bought, instead of using them for one meal and letting the rest go to waste.

 

The festive season can also be a time of overindulgence when it comes to eating. You can certainly still enjoy a good meal without cooking too much food. If you do cook too much, be sure to eat the leftovers or donate them to someone in need.

 

Whatever leftovers and food scraps you do have left, be sure to separate and use for compost. If you are at a holiday resort or similar  that does not have waste separation or composting facilities, be sure to leave a recommendation asking the venue to consider changing their ways.

 

 

  1. Talk about the important things

 

The end of the year is a time for reflection and goal setting. Reflecting on our own thoughts, actions and impact on others (and the world) can be an incredibly powerful tool to shift behaviour patterns and achieve a ripple of change that starts with us. 

 

Equally, discussing important issues at the dinner table, be it climate change, anti racism or gender equality shouldn’t be avoided just to maintain the Christmas cheer. Getting together during the holidays can provide the perfect opportunity for us to do better, together!

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text 2020-01-02 06:13
Se former entre business et durabilité

 

Dans un grand hall trônent d’élégants mais sobres fauteuils verts et un grand comptoir gris digne des réceptions de grandes entreprises. Mais sur le côté, un gorille en gros plan nous regarde fixement sur une affiche qui supplie «SOS sauvez nos espèces». Cette réception un peu particulière est celle de la Sustainability Management School (Sumas) ou Ecole de management durable, mais aussi, entre autres, du WWF et de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature).

 

Nous sommes dans la commune de Gland, dans le canton de Vaud. Les cours de la Sumas se déroulent dans le bâtiment qui fait face à cette réception, avec vue sur les champs, le lac et les montagnes. L’école propose depuis 2012 des formations supérieures dont des MBA – axées sur la gestion et destinées aux cadres – en management durable, en finance et investissement responsables et en tourisme durable. Deux nouvelles formations, sur le même principe, viennent d’ouvrir: en mode et en hôtellerie. Leurs coûts: 39 545 francs pour les programmes sur le campus et 16 170 francs pour les programmes en ligne.

 

Téléchargez notre liste 2019 des MBA romands

 

L’approche de l’école se veut avant tout holistique: contrairement à d’autres formations, l’aspect durable n’est pas annexe. «Dans chaque étape d’apprentissage, la question environnementale et sociale se pose. Nous ne pouvons pas par exemple enseigner le marketing d’un côté, puis la durabilité de l’autre», réagit Ivana Modena, fondatrice et directrice de l’établissement.

 

Un raisonnement qui fait sens, selon Rafael Matos-Wasem, géographe et professeur à la Haute Ecole de gestion de la HES-SO Valais. Il donne dans cette HEG entre autres un cours d’éthique économique et développement durable. «C’est un domaine qui doit irriguer tous les champs de l’enseignement, parce que nous allons être amenés à prendre des décisions phares pour notre planète, y compris au sein des entreprises.»

 

«Planet, people and profit»

 

Mais que signifie durabilité dans cette école? «Planet, people and profit», nous répond-on. «Ce n’est pas le fait de faire du profit qui doit être changé mais la façon de le faire, avance Ivana Modena. Nous avons besoin d’argent, mais les décisions qui mènent au profit doivent respecter l’environnement, et les droits humains.» Les étudiants travaillent aussi sur des projets concrets lors de stages dans des entreprises plus ou moins axées sur l’environnement: WWF, Kellogg’s ou encore Nespresso.

 

Lire également: Les sept bonnes raisons de faire un MBA

 

La poursuite du profit interpelle Rafael Matos-Wasem. «C’est un peu contradictoire. Qui dit profit dit marges et bénéfices, ce qui signifie que quelqu’un paie les pots cassés, les travailleurs ou l’environnement. Et cela sous-entend aussi de la consommation, pour faire tourner la machine.» Le professeur mesure cependant la difficulté de la situation: «Ces alternatives soi-disant durables sont un emplâtre sur une jambe de bois, il faudrait repenser le modèle dans son ensemble. Mais évidemment, et vu le contexte actuel, les entreprises doivent dégager un minimum de bénéfices pour exister, elles ne sont pas des organisations de bienfaisance.»

 

Les cursus sont tournés vers les entreprises elles-mêmes: «Dans le cours de projet managérial, j’ai travaillé avec un producteur de vin local et bio sur la façon de diminuer son empreinte carbone en réduisant son emballage», illustre Elisabeth Losasso, 43 ans. Désormais cadre à l’Institut Luc Hoffmann, centre indépendant de recherche créé par le WWF, elle a suivi un MBA en management durable à la Sumas.

 

La peur de Greta Thunberg

 

Pour la directrice, qui compte aujourd’hui une soixantaine d’inscrits dans ses MBA, les entreprises tiennent vraiment compte de ces questions, depuis peu. «Certaines changent parce qu’elles se sentent obligées, mais elles changent. Elles ont peur de Greta Thunberg! rit-elle. Mais c’est une transition, elle ne peut pas se faire du jour au lendemain.»

 

Lire aussi: Les MBA romands en 2019

 

Une transition, c’est ce qu’observe Giri Prasath, 26 ans. Cet Indien d’origine a suivi un MBA en management durable à la Sumas. «Je recherchais à la fois l’aspect business et environnemental». Le jeune homme est aujourd’hui stagiaire dans la société suisse Enviroports à Gland, qui travaille autour de la sécurité maritime et de l’élimination des déchets. «L’industrie maritime a de nouvelles règles en matière de pollution qui deviennent la norme.»

 

Lire aussi: Un MBA à la carte

 

Quand durabilité et business se mêlent, la question du greenwashing se pose toujours. «Bien sûr que certaines entreprises en font, commente Giri Prasath. Mais grâce aux analyses que nous apprenons à effectuer, je peux identifier ce qui est du greenwashing et ce qui ne l’est pas. Par exemple, lorsqu’une entreprise donne à voir ce qu’elle a changé, comme utiliser des énergies renouvelables dans sa production, pour cacher qu’elle continue par ailleurs à utiliser des produits néfastes.»

 

Les écoles sont toujours plus nombreuses à proposer des formations sur cette thématique, à l’image de la Business School Lausanne qui a ouvert en 2012 un MBA et un EMBA (pour les plus expérimentés) en business durable, qui connaît depuis un succès croissant. «La durabilité nécessite une vision radicalement différente du rôle du business dans la société. Elle ne peut être mise en place que si les cadres adoptent un nouvel état d’esprit», éclaire Branko Sain, directeur académique. Il précise que des pratiques durables sont aussi enseignées dans les modules plus traditionnels de l’école.

Il y a dans tous les cas urgence à agir. Rafael Matos-Wasem et Ivana Modena insistent sur ce point: «C’est la nouvelle façon de faire du business, il n’y a pas d’autre alternative car nous n’avons plus beaucoup de temps», alerte Ivana Modena. «Il faut agir à toutes les échelles. Et la formation joue en ce sens un rôle essentiel», conclut Rafael Matos-Wasem.

Source: sumas.ch/se-former-entre-business-et-durabilite
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