As with Princess Bride I'm phenomenally late to the Douglas Adams party, but in spite of my dislike for science fiction (and, to be fair, space-related science fact, for that matter), my resistance was been worn down and I thought I had half a chance of enjoying it on audio.  When I saw an edition narrated by Stephen Fry, I figured my chances increased to at least 3:2.

Summed up thoughts:

I still don't like science fiction - If I'd been reading this book, I'd have DNF'd it at Zaphod Beeblebrox, and never even gotten to Slartibartfast.  The combination of space and names I can't pronounce would have spelled its doom.  Also, as much as I ultimately enjoyed Adams' humor, the space stuff still bored me. 

The opening description of Zaphod Beeblebrox was almost the second death knell for this book; the author's description of him, in the scene right before he absconds with the Heart of Gold, was so unerringly and disturbingly similar to another alien life form currently squatting in an oval office somewhere in the US, that I almost couldn't go on.  Fortunately Zaphod Beeblebrox soon shows signs of intelligence and self-reflection that made it obvious he was a vastly higher being.

Stephen Fry is amazing.  Anyone who doesn't think a narrator can make a book better has never listened to Stephen Fry.  The book stands on its own merits, but I'd not have finished it without his voice bringing it to life.  I know this  because I'd originally started a different edition and I couldn't get past Ford and Arthur's first inadvertent hitchhiking experience.

Funniest moment for me:  the "spoiler alert" Adams gives out before the Heart of Gold lands on the mythical planet (of course I can't remember its name, it's some complex science fiction word).  That made me laugh out loud.

Overall, the story started slowly for me and I honestly couldn't figure out what all the fuss was about.  Once they they landed on the mythical planet, things got more interesting, and I was just really getting into the story when, of course, it ended.  Now I have to hope and pray Stephen Fry narrated an audio version of The Restaurant at the End of the Universe.  

I'm keeping this in my pocket for possible use in the Snakes and Ladder game.

Les déviations sont ces dispositifs permettant à certaines personnes de se précipiter à fond de train du point A au point B, tandis que d'autres personnes en font de même mais du point B au point A. Les gens qui vivent au point C, exactement situé à mi-chemin, ont souvent tendance à se demander ce qu'à de particulier le point A pour que tant de gens du point B aient envie de s'y rendre et ce qu'à de particulier le point B pour que tant de gens du point A aient envie de s'y rendre. Bien souvent ils préféreraient que les gens décident une bonne fois pour toutes où diable ils ont envie de se trouver.

- Tu sais le piloter? s'enquit négligemment Ford.
- Non. Et toi?
- Non.
- Trillian, vous savez?
- Non.
- Parfait, dit Zaphod, soulagé. Nous le piloterons donc ensemble.

- Oh! euh, eh bien, le sas qui est devant nous va s'ouvrir automatiquement dans quelques instants et je suppose que nous serons propulsés dans les profondeurs de l'espace, où nous serons asphyxiés. A condition de retenir ta respiration, tu peux espérer tenir trente secondes, bien entendu...", ajouta Ford. Il croisa les mains derrière le dos, haussa les sourcils et se mit à fredonner un vieux chant de guerre bételgeusien. Aux yeux d'Arthur, il paraissait soudain véritablement étrange.
"Eh bien voilà, constata Arthur. Nous allons mourir.
- Oui, admit Ford, sauf que... non! Attends une minute!"
Et soudain, le voilà qui se précipite à travers le sas en direction de quelque chose situé en dehors du champ de vision d'Arthur.
"Qu'est-ce que c'est que cet interrupteur?
- Quoi? Où ça? s'écrie Arthur en se retournant.
- Mais non, je plaisantais! dit Ford. Nous allons effectivement mourir." Et se radossant contre le mur, il reprit sa chansonnette là où il l'avait laissée.

Marvin réitéra son petit fredonnement narquois.
D'une baffe, Zaphod le fit taire.

- Et ensuite tu as piqué le Coeur-en-Or pour te mettre à sa recherche?
- Je l'ai piqué pour chercher un tas de choses.
- Un tas de choses? dit Ford avec surprise. Lesquelles par exemple?
- Je ne sais pas.
- Hein?
- Je ne sais pas ce que je cherche.
- Et pourquoi?
- Parce que... parce que... il se pourrait que, le sachant, je ne sois plus capable de le chercher.

What the title said

I would call this sci-fi on mushrooms. Funny, but very weird.

On a side note: I've never been afraid of rats, but I might reconsider.